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Photo : Jean-Pierre Muller/AFP
La chronique de Barbara Romagnan.
Pendant longtemps on a improprement utilisé le terme de « migrant » pour désigner une diversité de situations, y compris celle des réfugiés. Le terme de migrant est en effet imprécis puisqu’il ne distingue pas la personne qui quitte le pays dont elle est originaire pour améliorer sa vie, de celle qui n’a d’autre choix car sa survie en dépend. Il dénierait ainsi au réfugié la persécution qu’il subit ou qu’il craint de subir.
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Cette lettre ouverte a été écrite par Nicolas Huguenin, professeur d’histoire-géographie et d’éducation civique, militant MoDem, à l’association des centristes LGBT et à la Licra.
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Le lundi 28 septembre à 18h30 aura lieu le Conseil Municipal de rentrée en mairie de Morlaix:
Il sera notamment question de la DSP Stationnement avec Vinci (rapport d'activité 2014) et d'un avenant pour réorganiser le stationnement payant (fin des possibilités d'abonnement sur certains parkings: Allende, place des Otages) et d'augmenter les tarifs du stationnement payant (de 10 centimes sur beaucoup de tranches).
A l'occasion de ce Conseil Municipal, les élus du Front de Gauche sont à l'initiative d'une question orale qu'on aussi signé Guenaëlle Clech, Jean-Pierre Cloarec et Sarah Noll.
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Délogés par la police, des migrants quittent un campement de fortune à la gare d’Austerlitz,à Paris, le 17 septembre 2015.
PHOTO AFP / FLORIAN DAVIDLes réfugiés accueillis en France ne veulent généralement pas y rester. The New York Times tente de comprendre pourquoi la patrie des droits de l’homme attire si peu.