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21 septembre 2015 par
Du Front national au Parti socialiste, tout le monde s’accorde pour dire qu’il faut verrouiller les frontières et contrôler drastiquement l’immigration. Il y a quelques différences de forme ou de virulence dans les discours, mais tous se retrouvent pour dire que l’immigration et les immigré-e-s déstabilisent l’économie. Cette idée aujourd’hui largement répandue est utilisée pour durcir toujours plus les lois répressives et les dispositifs policiers. Et pourtant, c’est une idée complètement fausse.
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« Ma position est celle de l'UDI nationale. Le collectif prime sur les arrangements individuels », estime Jean-Yves de Chaisemartin, délégué costarmoricain de l'UDI.Titré « Cauchemar en cuisine chez Marc Le Fur », le communiqué, explosif est signé Jean-Yves de Chaisemartin. Hier, le délégué de l'UDI (Union des démocrates et indépendants) pour les Côtes-d'Armor a appelé à la candidature de Jean-Yves Le Drian, pour « élever le débat ». Ce qui a fait réagir la colistière de Marc Le Fur, Sylvie Guignard, qui a immédiatement répliqué en évoquant une « trahison ». Alors, coup de bluff pour se tailler une meilleure part à la table des négociations, à quelques mois des élections régionales ? « Pas du tout », assure le maire de Paimpol. « Quand je parle des débauchages personnels et autres jeux de coulisses au goût amer, tout ce que je dis est renseigné et vérifiable (...) Si nous ne pouvons porter nous-mêmes notre vision de l'intérêt pour la Bretagne, nous devons nous demander si Jean-Yves Le Drian n'est pas le mieux placé pour le faire. C'est une question que je suis prêt à poser sans aucun tabou », argumente-t-il. Réunion des militants lundi Fin des négociations avec les Républicains ? Le maire de Paimpol répond d'abord que « la rupture n'est pas consommée ». Tout en admettant qu'au-delà des problèmes de forme, la « distance, sur le fond, est énorme ». Un « vrai décalage » qui fait que « les fiançailles sont compromises », finit-il par admettre. En cause : le fait que toute alliance avec la « droite dure » du candidat Républicain se traduirait par l'impossibilité de « constituer ensuite un groupe centriste à part entière » au sein de l'assemblée régionale. Les militants costarmoricains de l'UDI se réuniront lundi prochain afin de « définir une position collective ».Le Télégramme 19 septembre 2015
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Sur fond de crise économique et sociale persistante, l’extrême droite propage ses idées et désigne les boucs émissaires : « Il n’y a jamais eu autant d’étrangers en France », « Nous sommes envahis par l’islam qui veut détruire notre mode de vie », « Si les entreprises licencient, c’est à cause des travailleurs indiens et chinois qui acceptent des salaires de misère ». Mensonges et idées fausses sont mobilisés pour des promesses illusoires : « Renvoyons les étrangers chez eux, le chômage disparaîtra », « Réservons les logements sociaux aux Français », « Sortons de l’euro pour rétablir la santé économique de la France »…
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« Abrogation de l’obligation de réalisation annuelle d’une analyse des besoins sociaux par les centres communaux d’action sociale ». Discrètement intégrée dans la liste des 21 nouvelles mesures prises lors du Comité interministériel aux Ruralités, lundi 14 septembre, cette mesure n'a pas tardé à faire réagir l'Union nationale des CCAS, usant d'un ton inhabituel dans un communiqué du 16 septembre : « En une matinée, le gouvernement enterre 20 ans de progrès social ». 20 ans, c'est la référence à la date de publication du décret du 6 mai 1995 qui définit les missions des CCAS et leur organisation dans le Code de l'action sociale et familiale.
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Ni un film environnemental, ni un film de voyage, ni réellement fictionné, ni totalement documentaire, incarné mais pas intimiste, ce film ressemble au road-movie d’une génération désabusée à la recherche de sagesse et de bon sens. En rapprochant les messages d’un biologiste cellulaire, d’un jardinier urbain, d’un chamane itinérant ou encore d’une cantatrice présidente d’ONG, Marc et Nathanaël nous invitent à partager leur remise en question, et interrogent nos visions du monde. Ce documentaire a été coproduit grâce à une campagne de financement participatif qui a mobilisé 963 internautes. Il est distribué de manière indépendante par l'association Kamea Meah.
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